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Millenium Graindesel
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28 novembre 2005

Horizon 2007

Pour l'équipe MilleniuM Graindesel les jeux ne sont pas faits !

Le système qu'incarne actuellement Monsieur CHIRAC et les autres acteurs de sa "majorité" produit et développe jour après jour chômage, vie chère, inégalités, dégradation du pouvoir d'achat, précarisation...

Il appartient à la gauche rassemblée d'affirmer avec force sa volonté de pouvoir proposer un véritable changement.

Notre pays n'a pas le dos au mur face au monde de demain et ce dernier n'est pas condamné à rester aux mains des dirigeants actuels du capitalisme mondial.

Nos atouts sont plus nombreux qu'il n'y parait et ensemble nous devons mobiliser nos capacités pour élaborer un projet politique porteur de nos ambitions pour DEMAIN.

Vous qui souhaitez que les choses changent, joignez vous à nous pour dire : les jeux ne sont pas faits !

Utilisez cet espace pour réagir, proposer, innover. Vos réflexions, propositions sont nécessaires pour bâtir ce programme et le porter à la connaissance de nos candidats.

Au fil du temps nous regrouperons, par catégorie, vos interventions qui viendront commenter, amender, contester, soutenir différentes idées ou propositions déclinées dans des tribunes nombreuses et variées !

A vous lire très vite,

Pour MilleniuM Graindesel

Pierre GRIMAUD NOW

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Commentaires
J
La voie Royal s’ouvre chez les socialos !<br /> Gauchos, balayez devant votre porte et lisez dans l’Express un article édifiant sur votre Zapatera du Poitou qui ne roule que pour elle, se préoccupant plus de son image et de sa personnalité autoritaire et irritante !
J
Les politiques libérales pratiquées en Europe ont restauré le pouvoir de la rente au détriment de la production. La désindustrialisation,liée à la crise de l’investissement, est la véritable cause du chômage. Contrairement à la thèse libérale, le chômage n’est aucunement dû aux rigidités du « modèle social français », largement détricoté aujourd’hui. Les inégalités et la précarisation explosent, amplifiées par les « réformes » fossoyeuses de l’Etat Social.
H
La mondialisation néo-libérale.<br /> La mondialisation libérale est la résultante de la victoire politique du néolibéralisme qui, depuis les années 80, tend à soumettre toute activité humaine à la seule exigence de profitabilité du capital. Prenant appui sur le déficit organisé de la crédibilité de l’État et l’affaiblissement du mouvement social galvanisée par l’effondrement du communisme, la droite libérale dominant les gouvernements occidentaux a procédé à une dévalorisation continue de l’action publique, à une dérégulation systématique des marchés.<br /> En vingt ans ce sont les actionnaires qui ont pris le pouvoir dans les entreprises. En moins d’une décennie, nous sommes passés d’un monde encadré par des institutions, ordonnées par des lois, à la jungle marchande et au désordre libéral. La culture de compétition généralisée détruit tous les liens et tous les droits. La compétitivité exige le démantèlement progressif de la protection sociale, le recul des investissements publics dans l’éducation, le logement, les équipements collectifs. L’inégalité progresse alors et la violence monte.<br /> Dans le même mouvement, les compromis politiques et sociaux nécessaires entre « intérêt particulier » et « intérêt général » ont été largement rompu au bénéfice de la sphère privée. Enfin dans l’aveuglement de la maximisation des profits, le pillage croissant des ressources de la planète est un élément totalement incontrôlé qui nous mène à une situation où l’avenir même de l’espèce humaine est remis en question.<br /> L’enjeu du projet pour 2007 est celui là : remettre à plat.
R
Le Président de la République a mis en place sa politique, celle de l’offre au service exclusif de l’argent. Anti-sociale par nature, elle génère la situation dans laquelle nous sommes actuellement. La république a perdu ses marques quant à la démocratie elles est sur l’autoroute de l’impasse. L’écart se creuse entre le peuple et ses dirigeants. C’est la raison pour laquelle, par delà toute autre considération, nous exigeons des partis de gauche qu’ils consacrent tous leurs efforts à une double tâche : <br />  mener dans l’immédiat une opposition franche et résolue <br />  proposer une alternative pour l’avenir. <br /> Pour cela leurs leaders devront ne pas oublier que ce ne sont ni les idées ni les propositions qui font défaut : c’est la clarté de leur choix qui une nouvelle fois déterminera notre avenir. Qu’ils n’oublient donc pas que le mauvais choix nous a contraint à voter Chirac lors d’un second tour…
B
Voici une déclaration de plus qui devrait ouvrir notre réflexion : <br /> "Nous voulons choisir ceux qui seront accueillis sur le territoire de la République pour pouvoir les intégrer et nous raccompagnerons chez eux ceux que nous n'avons pas choisis. Nous voulons davantage d'étudiants, davantage de chercheurs, davantage de solidarité à l'égard de ceux qui sont poursuivis", adéclaré notre Ministre de l'Intérieur.
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